Je pars demain (hihi un post pré-préparé pour vous mes chéris) pour Montréal et mon copain a quand même un peu de peine de me voir partir (ça nous rappelle des souvenirs tristes d’aurevoirs déchirants à l’aéroport quand on doit se quitter...) et j’ai décidé de décongeler le lapin que j’ai acheté il y a deux semaine au Champion et de le préparer pour lui ce soir, malgré mon horreur des têtes de lapins sans peau.
C’est bizarre, quand t’as besoin d’un couteau qui coupe, y’en a jamais à portée...
Voici mon lapin, je n’arrive pas à lui couper la tête, le coeur me lève, d’autant plus que sans couteau coupant, je dois quelque peu «scier» son cou. Je dois tourner la tête (la mienne) pour le faire.
Maintenant, à force de scier, sa langue est sortie. C’est dégueu.
Là j’ai réussi, mais ce n’est pas moi qui prends la photo. C’est chéri.
Présentement, je me tiens dos à mon lapin dont je viens de couper la tête. Je n’arrive plus à le regarder. Chéri devra finir de découper le lapin. Manger le lapin devrait être plus facile que de le scier...
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